C'est quoi un blog ?

Un journal intime public.

Enfin pas tous... Le mien oui.

C'est un ramassis de pensées et de coup de gueule qui n'intéressent pas grand monde.

Mais le titre de mon blog annonce la couleur.

Je ne vends pas de crème qui coutent une blinde et qui sont censée rendre belle.

Je fait pas de recette de cuisine bien que j'adore ça.

Je ne montre pas mon cul non plus, suffisamment de gens l'ont déjà vu, avec et sans mon consentement.

J'aurais pu, au départ montrer mon cul et après vendre des crèmes et faisant un gâteau, c'est une option aussi.

Pourtant avec ces 2 ou 3 options, je pourrais gagner des tonnes de fric, voyager, avoir des produits à l’œil. Il y a des youtubeuses plus jeune que moi qui ont déjà fait le tour de la planète. Il y en a même une qui a dansé à la télévision.

Ça ne m'intéresse pas. Je ne suis pas vénale. Pourtant c'est si facile de le devenir.

En ce moment, je gagne ma vie honnêtement. Je fait parti du club très fermé des gens qui payent des impôts afin d'entretenir les assistés et les hommes politique.

Oui, je les mets dans la même catégorie car si tous les assistés ne sont pas des hommes politique, en revanche tous les hommes politique sont des assistés. Mais cette remarque n'engage que moi.

Est ce que mon blog est un fiasco ?

Oui et non.

Oui parce que mon blog a plus d'un an, j'ai 3 abonnés, un abonné par mail et quand je tape le titre exact de mon blog sur over-blog, donc sur la plateforme qui m’héberge, je n'apparais qu'à la 5ème page uniquement dans la catégorie à laquelle mon blog est référencé. Sinon, je suis transparente. Donc, et j'en ai eu la confirmation par mail récemment, mon blog ne peut être trouvé que vraiment par un pur hasard.

Non parce que j'écris pour moi, j’extériorise ce que je pense. Bien ou mal. Blanc ou noir. Le fait que quelqu'un me lise est pour moi secondaire, bien que je sois contente que quelqu'un le fasse.

Mais c'est là, accessible au monde entier.

Et je dis à la plus gentille des filles que je l'aime de tout mon cœur.

Et je dis au pire des enculés violeur pédophile que je le méprise et je lui couperais ses couilles et que je lui ferais bouffer sans regret ni remords avant de le laisser crever dans un fossé.

Je suis moi, entière et franche. Un cœur énorme et tout le temps au bord des larmes.

J'ai dis, dans la journée, que je voulais changer de prénom. Je vais donner l'expliquation. Quand j'ai démarré mon blog, il y en avait 4 ou 5, pas plus. Maintenant Google en est blindé, il y en a partout. Ça me gave. J'ai l'impression d'avoir des milliers de cousine inconnues et ça me gave encore plus.

Voilà, ça aussi il fallait que je le dise.

Je vous embrasse.

Marion... pour l'instant..